Een strohoed is een hoofddeksel dat vervaardigd
is uit vlechtwerk van stro.
Voordeel van een strohoed is dat deze heel licht is, en ook
luchtig door de porositeit. Door een brede rand zorgt de strohoed
voor schaduw. Ze is echter enkel geschikt om te dragen bij mooi
weer.
Strohoeden werden vaak in huisarbeid vervaardigd, en vanaf de 18e eeuw
ontstond er een levendige handel in deze hoeden. De dorpen in de
vallei van de Jeker, met centra als Rukkelingen-aan-de-Jeker, kenden
vele strohoedenmakers en strovlechtsters (tresseuses de
paille). Deze activiteit werd vooral in de 19e eeuw en het
eerste kwart van de 20e eeuw beoefend. Sommigen van hen trokken weg
en begonnen elders een hoedenwinkel. Ook werd het stro wel in de
strohoedenstreek voorbereid (deze moest onder meer worden
platgemaakt), opgestuurd naar de steden waar hoedenwinkels waren,
waarna strohoedenmakers vanuit de Jekervallei voor enkele maanden
als seizoenarbeider in deze steden gingen werken
om de hoeden aldaar te vervaardigen.
Strohoeden zijn er in heren- en damesmodellen. Het herenmodel is
vaak gebaseerd op de stetson. Het damesmodel heeft gewoonlijk een
bolle vorm en een brede rand. Meestal is er om de hoed een lint
aangebracht. Sommige strohoeden zijn bovendien voorzien van
kunstige versieringen in het vlechtwerk.
Bijzondere soorten van strohoed zijn de Panamahoed en de sombrero.
Als materiaal kan roggestro worden toegepast, maar ook papierstro en
exotische strosoorten worden gebruikt
A boater (also straw boater,
basher, skimmer,
cady, katie,
canotier, somer, sennit
hat, or in Japan, can-can hat) is a kind
of men´s formal summer hat.
It is normally made of stiff sennit
straw and has a stiff flat crown and brim, typically with a solid
or striped grosgrain ribbon around the crown. Boaters were
popular as casual summer headgear in the late 19th century and
early 20th century, especially for boating or sailing, hence the
name. They were supposedly worn by FBI agents as a
sort of unofficial uniform in the pre-war years. It was also worn by women, often with
hatpins to keep it in place. Nowadays they are rarely
seen except at sailing or rowing events, period theatrical and
musical performances (e.g. barbershop music) or as part of
old-fashioned school uniforms. Since 1952, the straw boater
hat has been part of the uniform of the Princeton University Band, notably
featured on the cover of Sports Illustrated Magazine
in October, 1955.[1]
Recently, soft, thin straw hats with the approximate shape of a
boater have been in fashion among women.
Inexpensive foam or plastic skimmers are sometimes seen at
political rallies in the United States.[2][3][4]
In the United Kingdom, Australia, New
Zealand and South Africa the boater is still a common part
of the school uniform in many boys´ schools, such as at Harrow School, Shore School, Brisbane Boys´ College, Knox Grammar School, Maritzburg College, South African College
School, St John´s
College (Johannesburg, South Africa), Wynberg Boys´ High School, Parktown Boys´ High School and
numerous Christian Brothers
schools (CCB).
The boater may also be seen worn by the ´carreiros´ of Madeira, the drivers of the traditional wicker
toboggans carrying visitors from the parish church
at Monte (Funchal) down towards Funchal
centre.
Being made of straw, the boater was and is generally regarded as
a warm-weather hat. In the days when all men wore hats when out of
doors, "Straw Hat Day", the day when men switched from wearing
their winter hats to their summer hats, was seen as a sign of the
beginning of summer. The exact date of Straw Hat Day might vary
slightly from place to place. For example, in Philadelphia, it was May 15; at the University of Pennsylvania, it was
the second Saturday in May.[5]
The boater is a fairly formal hat, equivalent in formality to
the Homburg, and so is correctly worn either
in its original setting with a blazer, or in the same situations as
a Homburg, such as a smart lounge suit, or with black tie. John Jacob Astor IV was known for wearing
such hats. The silent film comedian Harold Lloyd used the boater, along with
horn-rimmed glasses, as his trademark
outfit.
Le canotier est un chapeau de paille de forme ovale à fond
plat, à bords également plats, orné d’un ruban, qui est mis à
la mode par les fervents du canotage dans le courant du XIXe siècle, d’où son
nom.
Créé dans les années 1880[Informations douteuses] [?],
le canotier devient un chapeau populaire, en été pendant le
XIXe siècle, il est
encore à la mode au début du XXe siècle. Il est apprécié des
cyclistes et des sportifs de façon générale. D´abord porté par les
hommes, les femmes finissent par l´adopter. Elles ne seront plus
guère les seules à le porter encore parfois après 1950...
Dans la seconde moitié de la fin du XIXe siècle et du début du
XXe siècle, le canotier
devient le chapeau masculin d’été par excellence, comme en
témoigne le célèbre tableau de Renoir « le Déjeuner des
canotiers ».
La façon de le porter était codifiée[réf. nécessaire]
ainsi la mode voulait qu´on le porte penché en avant et incliné
avec désinvolture sur l´oreille.
Les dimensions et la forme du canotier pour dame évoluent au gré
de la mode, tout au long du XXe. Chapeau à triple épaisseur de
paille pour les hommes, en toutes matières et largeurs de bords
pour les femmes...
À l’époque hommes et femmes portaient le chapeau comme un
moyen d´affirmer leur statut social… Les femmes adoptent
surtout le canotier à la fin du XIXe siècle, pour faire du
sport : chasse, équitation, cyclisme.
La capitale du canotier est Caussade.
À Paris, les canots à voile font leur apparition sur la Seine
dès le début du XIXe. La
préfecture de Police en autorise la circulation sous certaines
conditions en 1840. De nombreux individus se mettent à ramer (des
« canotiers »), ils conduisent eux-mêmes leur
embarcation. Le canot devient un divertissement. Ramer est un
plaisir, tout comme s’encanailler dans les différentes
guinguettes et autres lieux de plaisance de cette
époque. Le canotage suscite de nombreuses réactions. Par des
chansons, et évidemment en peinture.
Les premiers canotiers parisiens de la fin du XIXe et du début du XXe siècle ne veulent pas rester en
bourgeois pour conduire leur bateau et adoptent un costume qui
s’inspire volontiers de ceux des matelots ou des mariniers,
notamment à travers le chapeau rond orné d’un ruban qui
faisait alors partie de la tenue de sortie réglementaire des hommes
d’équipage.
Dans la Marine, deux versions du chapeau rond
coexistaient : une version en paille naturelle pour le service
dans les pays chauds et une version imperméabilisée avec du goudron
ou de la toile cirée noire pour le service dans les pays
pluvieux.
Le canotier est le chapeau emblématique de Gabrielle Chanel. Elle le porta très
tôt en réaction aux couvre-chefs si garnis des femmes à son
époque.
Il devient particulièrement célèbre au XXe siècle quand les vedettes de
music-hall comme Maurice Chevalier ou Fred Astaire s’en emparent.
Maurice Chevalier s´illustra, en 1962, dans
une chanson : le Twist du canotier, enregistrée
avec le groupe rock français les Chaussettes noires.
A
photograph or
photo is an
image created by
light
falling on a light-sensitive surface, usually
photographic film or an electronic medium
such as a
CCD or a
CMOS chip. Most photographs are created
using a
camera, which uses a
lens to focus the scene´s visible
wavelengths of light into a reproduction of what the human
eye would see.
The process and practice of creating photographs is called
photography. The word "photograph" was coined in
1839 by
Sir John Herschel and is based on the
Greek φῶς (
phos),
meaning "light", and γραφή
(
graphê), meaning "drawing, writing", together meaning
"drawing with light".
[1]
A
photograph or
photo is an
image created by
light
falling on a light-sensitive surface, usually
photographic film or an electronic medium
such as a
CCD or a
CMOS chip. Most photographs are created
using a
camera, which uses a
lens to focus the scene´s visible
wavelengths of light into a reproduction of what the human
eye would see.
The process and practice of creating photographs is called
photography. The word "photograph" was coined in
1839 by
Sir John Herschel and is based on the
Greek φῶς (
phos),
meaning "light", and γραφή
(
graphê), meaning "drawing, writing", together meaning
"drawing with light".
[1]
La photographie1
est une technique qui permet de créer des images par
l´action de la lumière. La photographie désigne aussi l´image
obtenue.
Le terme de photographie désigne également la branche des
arts graphiques qui utilise cette
technique : c´est l´« écriture de la lumière ».
La photographie a su tirer parti de nombreuses innovations
technologiques et techniques dans les domaines de l´optique, de la chimie,
de la mécanique, de l´électricité, de l´électronique et de l´informatique.
Les deux phénomènes nécessaires à l´obtention d´images
photographiques étaient pour certains connus depuis longtemps et
explicité dans le Traité d´optique. Les
réflexions d´Aristote et les travaux du père de l´optique
moderne Ibn al-Haytham, ont permis de mettre la réalité en
boîte ; il suffit de percer un « petit trou »
(sténopé) dans une chambre noire (en latin : camera obscura)
pour voir apparaître une image inversée dans le fond blanc de la
boîte. D´autre part, les alchimistes savaient que la lumière
noircissait le chlorure d´argent. Vers 1780 Jacques Charles, plus
connu pour son invention de l´aérostat gonflé à l´hydrogène, parvint à figer, mais
de façon fugitive, une silhouette obtenue par le procédé de la
chambre noire sur du papier imbibé de chlorure d´argent. Thomas Wedgwood (1771-1805) fit des
expériences analogues avec le nitrate d´argent ; il en publia un
mémoire en 1802. De son côté John Herschel en 1819 décrit
les propriétés de l´hyposulfite de sodium qui deviendra le
fixateur.
Joseph Nicéphore Niépce, un
inventeur de Chalon-sur-Saône, associe ces trois procédés
pour fixer des images (de qualité moyenne) sur des plaques
d´étain recouvertes de bitume de
Judée, sorte de goudron naturel qui possède la propriété de durcir
à la lumière (1826 ou 1827) ; la première photographie représente
une aile de sa propriété à Saint-Loup-de-Varennes en Saône-et-Loire. Nicéphore meurt en 1833 et
Louis Daguerre poursuit l´amélioration du
procédé. En découvrant le principe du développement de l´image latente, Daguerre trouve le moyen de
raccourcir le temps de pose à quelques dizaines de minutes. En
1839,
il promeut son invention auprès du savant et député François Arago, qui lui accorde son
soutien.
Ainsi, la date conventionnelle de l´invention de la photographie
est 1839, c´est la date de la présentation par Arago à
l´Académie des sciences de
l´« invention » de Daguerre, le daguerréotype. C´est en fait une amélioration
de l´invention de Niépce.
Een foto is een afbeelding op een plat vlak vervaardigd
door middel van fotografie. Een foto geeft relaties weer van
objecten, voorwerpen, mensen of dieren uit de werkelijke wereld
zoals gezien door de lens van een camera gedurende een (meestal
korte) tijdperiode.[1] De
naam fotografie werd voor het eerst genoemd door John Herschel, een Engels astronoom, en is gebaseerd op het Griekse
φώς (phos, "licht") en
γραφίς (graphis,
"pen, kwast"). In de volksmond wordt een foto ook wel een
kiekje genoemd, genoemd naar Israël Kiek.
In vergelijking met andere uitdrukkingsvormen als pictogrammen, diagrammen en kaarten, maar ook tekst is
dit wel de meest zuivere benadering (maar niet per definitie: beste
benadering) van de werkelijkheid, als de digitale nabewerking en
manipulatie uitblijft. Daarmee dragen foto´s maximaal bij aan een
juiste communicatie van het overbrengen van een
bepaalde gedachte over (een deel van) de werkelijkheid. Deze
zienswijze wordt verder toegelicht in visualisatie.
Kenmerkend is de directe relatie van de afbeelding met de
realiteit, maar dit maakt van een foto daarom nog
geen objectieve weergave van die realiteit. Een foto is altijd een
manipulatie van de realiteit, zowel door het standpunt
(perspectief), het kader, de begeleidende tekst, het moment en het
materiaal dat de fotograaf gebruikt om de foto te maken,
alswel door ingrijpen op chemische of digitale wijze in de fotografische
afbeelding door de fotograaf of anderen.